
Lettre à Freud du 28 novembre 1925
In Correspondace Freud-Ferenczi, Les années douloureuses, 1920-1933, Paris, Calman-Levy, 2000 : 262.
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Concernant la question des analystes profanes, je continue de penser que l’on doit montrer la plus grande rigueur pour leur attribuer la qualité de membre, mais lorsqu’ils satisfont à tous les critères, ils doivent absolument être acceptés.
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Lettre circulaire du 25 juillet 1926, In Correspondance Freud-Ferenczi, Les années douloureuses, 1920-1933, Paris, Calman-Levy, 2000 : 299.
« Chers amis,
Les attaques des journaux à Vienne contre Reik et la psychanalyse ont fait grand bruit à Budapest aussi. J’ai été interviewé par un journal sur la question de l’analyse profane et j’ai fourni des explications tout à fait catégoriques.
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Ferenczi »
Lettre de Ferenczi à Freud du 13 juillet 1927, posté à Baden-Baden In Correspondance Freud-Ferenczi, Les années douloureuses, 1920-1933, Paris, Calman-Levy, 2000 : 350.
Cher Monsieur le Professeur,
[…]
J’étais pressé de m’y rendre [à Londres] parce que la proposition reçue d’Eitingon concernant l’analyse profane m’a mis hors de moi. J’ai trouvé une différence si monstrueuse entre notre opinion (à vous et à moi), d’une part, et les propositions d’Eitingon d’autre part, que je me suis senti incapable d’accepter, voire de briguer la présidence [de la Société Internationale de Psychanalyse], qui implique l’approbation d’un tel programme (et un conseil majoritairement hostile à l’analyse profane sur les bras, par dessus le marché).
[…]
L’ami Eitingon est un ami inconditionnel des médecins, par esprit de corps résolu. Pour l’amour de vous, il s’est finalement décidé à soutenir la reconnaissance de principe de l’analyse profane (par les Américains).
Les crochets [] sont de Christian Jeanclaude