
Lettre de Freud à Ferenczi le 3 mars 1926
in Correspondance Freud-Ferenczi Les années douloureuses, 1920-1933, Paris, Calman-Levy, 2000 : 282.
Au sujet d’une nécessité de se reposer recommandée par les médecins de Freud suite à des malaises cardiaques et qu’il accepte de très mauvaise grâce.
.« .., Martha va aujourd’hui au Cottage Sanatorium pour demander s’il y a une place ; si c’est possible, je dois m’y rendre dès cette semaine. Il m’est permis d’y faire venir mes trois patients plus difficiles, ce qui me protège d’un ennui mortel et couvre aussi les frais de séjour. »
Cette remarque freudienne est intéressante car elle pose la question du rapport de Freud au sens de la vie et du vide (Christian JEANCLAUDE).